MES OUVRAGES

NOXLUMEN, la poésie qui parle d’aujourd’hui Chronique diffusée dans l’émission « La Grande Librairie des Poètes », chaîne culturelle C’est un petit livre noir, moins de cent pages. Mais il fait grand bruit dans le monde discret de la poésie contemporaine. Avec NOXLUMEN, Nad LANYAR publie cinquante poèmes qui semblent avoir été écrits à même notre époque, comme des cicatrices posées sur la page. Ce recueil, et plus largement la série de livrets que l’auteur développe, redonne le goût de la poésie. Pourquoi ? Parce qu’il n’écrit pas pour les bibliothèques poussiéreuses mais pour nos vies d’aujourd’hui. LANYAR parle de la consommation, de l’écologie, de la République, de la mémoire, des luttes sociales. Il ose affronter, sans détour, les grandes questions de notre siècle. Les critiques parlent d’un courage littéraire rare. Car choisir l’alexandrin pour dire l’urgence climatique, le chaos nucléaire ou l’érosion de nos valeurs démocratiques, c’est affirmer que la poésie n’est pas un luxe : elle est un outil de résistance. LANYAR, par ses vers, propose une poétique de la rébellion douce. Lire NOXLUMEN, c’est se confronter au noir pour mieux comprendre la lumière. Ce qui frappe aussi, c’est la cohérence de cette œuvre. Chaque livret de LANYAR s’attaque à un pan du réel : la République avec son quadriptyque Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité — un recueil qui pourrait être enseigné demain dans les classes comme une leçon civique en vers ; l’écologie avec AU BORD DU DERNIER SOUFFLE et aujourd’hui le noir existentiel avec NOXLUMEN. Ensemble, ces livres tissent une véritable cartographie poétique de notre temps. Dans un monde saturé d’images, ces textes rappellent le pouvoir du mot. Ils posent une question simple et redoutable : quelle légende allons-nous transmettre à nos enfants ? Sur ce plateau, les invités sont unanimes : LANYAR ne fait pas de la vieille poésie. Il la réinvente, la rend urgente, nécessaire, militante. Et cela, c’est sans doute le signe d’un grand poète contemporain.

« NOXLUMEN ne se lit pas, il se vit. C’est une expérience sensorielle et existentielle, où la densité des images et la force du rythme imposent une lecture lente, presque méditative. Un recueil qui hantera longtemps ses lecteurs. »

« Ce livre est une traversée initiatique. Derrière la noirceur assumée, on perçoit une quête obstinée de vérité. LANYAR s’inscrit dans une lignée d’auteurs qui savent que la poésie n’est pas un refuge mais une arme : un moyen de dire l’indicible. »

« Le recueil frappe par son équilibre entre rigueur formelle et déflagration émotionnelle. Chaque poème de NOXLUMEN agit comme un fragment incandescent : il brûle, il inquiète, mais il éclaire. LANYAR confirme qu’il est l’une des voix les plus singulières de la poésie contemporaine. »

« Dans NOXLUMEN, Nad LANYAR explore l’envers du langage avec une intensité rare. Ses cinquante poèmes noirs ne sont pas seulement un voyage au cœur des ténèbres : ils révèlent, par contraste, la puissance d’une lumière qui persiste. Une œuvre de maturité. »

"Avec NOXLUMEN, Nad LANYAR signe un recueil de cinquante poèmes noirs, qui s’inscrit dans une démarche poétique singulière : redonner à la poésie contemporaine une place centrale dans notre temps. Loin des formes figées ou de l’ornement purement lyrique, il choisit l’alexandrin comme une arme vivante, tendue vers le présent. Le résultat est saisissant : un langage classique réinventé, mis au service d’une conscience brûlante. Ce livre redonne le goût de la poésie. Parce qu’il parle notre langue d’aujourd’hui, parce qu’il interroge nos fractures, nos angoisses, nos violences contemporaines. LANYAR se détourne de l’exercice nostalgique pour faire de la poésie un outil de lucidité. Ces vers noirs, actuels et intransigeants, nous confrontent à ce que nous refusons trop souvent de voir : l’effritement du monde, la consommation effrénée, les désastres écologiques, la solitude moderne. Mais NOXLUMEN n’est pas seulement un constat. Il est aussi un acte de courage littéraire. Chaque poème, dans sa noirceur, trace un chemin de rébellion, parfois feutré, parfois éclatant. LANYAR ne cherche pas la complaisance : il met ses lecteurs au pied du mur, les oblige à regarder. En cela, il accomplit ce que la poésie a toujours eu de plus nécessaire : éveiller. Ce recueil s’inscrit dans la collection de livrets que l’auteur développe, chacun de moins de cent pages, chacun prenant à bras-le-corps un problème majeur de notre époque consommatrice. Ce format ramassé confère aux textes une intensité rare : pas de digressions, pas de remplissage, seulement la parole dense et nue. Chaque livret complète l’autre, comme autant de miroirs noirs tendus vers nos responsabilités. À l’instar de son recueil Au Nom de la République, où le quadriptyque Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité s’impose comme une leçon civique et poétique qui mériterait d’être enseignée dans nos écoles, NOXLUMEN et les autres livrets de LANYAR posent frontalement la question de l’héritage. Que laisserons-nous à nos enfants ? Quelles légendes, quelles ruines, quelles promesses ? LANYAR ne fait pas de la vieille poésie : il la réinvente. Il prouve que l’alexandrin, loin d’être un vestige, peut encore être un outil vibrant, mobilisateur, politique et sensible. En convoquant à la fois l’ombre et la lumière, le cri et la méditation, NOXLUMEN rappelle que la poésie, loin d’être un divertissement, est un acte de conscience." Un recueil sombre, oui, mais surtout nécessaire.